La déception est parfois si intolérable qu’elle devient nettement déceptive. Une déception déceptive, c’est de la tristesse du plus bel effet. Du désenchantement de premier ordre.
C’est un article de lavie.fr qui le relate sous la plume de Pascal Paillardet.
On peut éprouver une même douleur quand on songe à Dijon. Surtout si l’on habite la Franche-Comté. Avec le nouveau découpage territorial, le choix de Dijon, chef-lieu de la Bourgogne, comme capitale de la région Bourgogne-France-Comté, crée selon le quotidien Ouest-France « un effet déceptif du côté des Francs-Comtois ».
Ils n’avaient d’yeux que pour Besançon. À la pensée de Dijon, forcément, le feed-back est hyper déceptif.