Ce mercredi 9 mars, la grande mobilisation étudiante annoncée s’est transformée en rassemblement de toute l’extrême gauche où l’UNEF défilait sous les mêmes banderoles que la CGT, FO, Solidaires ou encore la Fédération Anarchiste.
Avec moins de 2000 manifestants et à peine 200 étudiants présents dans les rues de Dijon, c’est une nouvelle fois une infime minorité qui revendique représenter l’ensemble de la jeunesse.
Alors que la manifestation se terminait par une « AG » dans un amphi de l’Université de Bourgogne, Les étudiants et l’administration de l’Université de Bourgogne ont pu constater des dégradations à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments : tags et affiches collées sur les murs, dégradations de matériels, amphi squatté.
L’UNI Bourgogne condamne toutes les dégradations commises par les manifestants de l’UNEF ou d’autres groupuscules d’extrême gauche.
L’UNI réaffirme sa position : Garantir la liberté d’étudier pour la réussite de tous les étudiants !
Aujourd’hui, 43% des étudiants sont toujours au chômage un an après l’obtention de leur diplôme. Au lieu de manifester pour des raisons politiciennes, nous nous battons pour une meilleure insertion professionnelle des étudiants parce que la véritable précarité pour les jeunes, c’est le chômage !
En cette période d’examens nous souhaitons que chaque étudiant puisse avoir la liberté d’étudier, de réviser et de réussir sans être pris en otage par les syndicats !
Communiqué de presse
UNI Bourgogne