Conséquence de la hausse des impôts de 5 % à Dijon.
Depuis Bonami, premier maire de la ville élu en 1192, la fiscalité directe des ménages avait progressé, pour rapporter, au départ de Robert Poujade en 2001, 56 M€. L’actuel Maire de Dijon, en 16 ans a réussi l’exploit de doubler cette recette des trois taxes.
À lire ici : Budget primitif de Dijon (BP) 2016
Comment Dijon va-t-il se sortir de la dette Structurée et Toxique ?
Il est vrai que la ville de Dijon n’a pas réussi à transférer les 92 % d’emprunts toxiques attachés au budget annexe des parkings, mais « seulement » un emprunt de 10 M€ très structuré E4 (18,1 M€ d’emprunts et surtout environ 10 M€ d’emprunt à risque fort classé E4). C’est tout de même plus de 18 M€ de dette qui ont été transfères de Dijon à la Communauté Urbaine.
Pour comprendre : http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Actualite/Politique/n/Contenus/Articles/2016/03/30/Ex-Region-le-panier-de-la-mariee-etait-perce-2668753
Quand nous voyons la situation de l’ex région Poitou-Charentes, nous comprenons pourquoi pour la Chambre Régionale des Comptes : la dette de Dijon : est « la première source de risque pesant sur les finances communales à l’heure actuelle ».
Franck Ayache