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3 endroits méconnus et pourtant incroyables à Dijon

Aujourd’hui, J’Aime Dijon vous emmène dans trois endroits méconnus et pourtant incroyables dans la Cité Ducale. Suivez le guide !

Nouveau format sur J’Aime Dijon ! On vous emmène en vidéo dans des lieux qui font la beauté de notre patrimoine dijonnais : le Musée François Rude, le Jardin du Suzon et la Chapelle Sainte-Croix de Jérusalem.

Le Musée François Rude

Si vous êtes un amateur d’art et d’archéologie, alors le Musée Rude à Dijon est fait pour vous ! Ce musée, qui a ouvert ses portes en 1947, abrite des moulages en plâtre grandeur nature des sculptures incroyables de François Rude, artiste dijonnais de renom (1784-1855). Le Musée Rude est l’heureux gardien du moulage du Départ des Volontaires de 1792. Une œuvre  époustouflante que l’on retrouve sur le pied droit de l’Arc de Triomphe de Paris.

Dans le chœur de l’église Saint-Etienne, les visiteurs peuvent aussi découvrir les fondations du chœur de l’église datant du XIème siècle et un important morceau du mur de l’ancien castrum (ancien camp gallo-romain) sur lequel le bâtiment est élevé.

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Le Jardin du Suzon

Dans le quartier de Pouilly, au nord de la ville, se trouve un jardin insolite : le parc du Suzon, plus connu comme « le jardin japonais » de Dijon. Ce paysage singulier, organisé autour d’une pièce d’eau centrale, incite à la contemplation et au repos. Ici, la plupart des végétaux sont d’origine nippone, parmi lesquels un très beau pin de l’Himalaya.

Ce jardin est le fruit d’une collaboration entre la ville japonaise de Koshigaya et la ville de Dijon. Dans les années 1980 naît ce projet de créer un jardin selon l’art et la manière japonaise. Les services de la ville de Dijon, de leur côté, conçoivent en échange un jardin à la française pour Koshigaya.

La Chapelle Sainte-Croix de Jérusalem

Datant de 1459, cet édifice a été honoré par le prix des rubans du Patrimoine pour la qualité de sa restauration. Ce concours met en lumière les efforts déployés par les communes pour préserver et valoriser leur patrimoine bâti.

Cette ancienne chapelle funéraire de l’hôpital du Saint-Esprit a été classée monument historique en 1908. Elle abrite depuis 1938 un ensemble d’œuvres liées à l’histoire de l’hôpital. Sa restauration, menée dans le cadre de la création de la Cité de la gastronomie de Dijon, a été placée sous la maîtrise d’œuvre de l’architecte Martin Bacot. Le projet avait pour objectif de préserver l’architecture originale, de révéler la beauté des œuvres d’art exposées tout en améliorant les conditions d’accueil du public notamment par une scénographie moderne.

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