Après deux foodtrucks et deux restaurants à Dijon, l’enseigne bourguignonne de burgers Foodies vient d’ouvrir un autre spot à Quetigny… Avec quelques nouveautés !
Créée par les talentueux Julien Chauvenet, chef pâtissier du restaurant étoilé de L’Auberge de la Charme, et Charles Vinet, cuisinier passé par les prestigieuses tables d’Alain Ducasse et d’Anne-Sophie Pic, l’enseigne Foodies s’est imposée comme une championne du burger à l’international.
Vainqueur du World Burger Contest 2023 et finaliste des World Food Championships 2023, le sandwich dijonnais câlinent les papilles gustatives des gourmets – même celles du maire de Dallas – depuis plus de dix ans, avec des recettes à la fois bourguignonnes et multiculturelles toujours aussi gourmandes et surprenantes.
Entre masterclass, concours et collaborations en Afrique, aux Caraïbes et en Polynésie, les deux chefs de la maison et leur équipe participeront encore cette année aux échanges gastronomiques… Avec l’idée aussi de réfléchir à des recettes !
Un nouveau restaurant à Quetigny… Mais pas seulement !
D’ailleurs, Foodies a lancé sa nouvelle carte : le raclette 2.0 et le korean burger (notamment sa version épicée) sont à tomber par terre.
En plus des deux foodtrucks et des deux restaurants situés dans le cœur de ville et devant la Cité internationale de la gastronomie et du vin ; vous pouvez les déguster dans un tout nouveau spot qui se trouve dans l’ancien Gamm Vert de Quetigny. Pratique en termes d’accessibilité, il est situé à cinq minutes en voiture et à quinze minutes à pieds du Ciné Cap Vert.
Ce bel espace de plus de 1000 m2, qui accueille aussi le laboratoire de création de l’enseigne, propose des concepts inédits : un service à table, un bar avec une tireuse à bière, mais aussi des tapas. De quoi régaler les convives, avant ou après une petite séance de cinéma, en toute convivialité !
Le développement de la marque Foodies ne s’arrête pas là puisqu’elle ouvrira ses premières franchises en Bourgogne dans un rayon de 100 kilomètres, à partir du mois de juin. « C’est ce qu’on appelle un développement en escargot », analyse avec un bon mot Julien Chauvenet.
