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L’art aborigène à Dijon : de la préhistoire au musée Branly

La Galerie l’Espace de l’Encadreur au centre ville de Dijon (30 rue charrue) accueille cinquante œuvres de trente peintres du désert australien et de la terre d’Arnhem pour l’exposition Vibrations aborigènes du 2 au 11 juin prochain. 

Vous pourrez y voir entre autres plusieurs œuvres de Tommy Watson, de son vrai nom Yannima Pikarli, le plus connu des peintres aborigènes vivants.

Vibrations aborigènes : Tommy Watson et d’autres, de la préhistoire au musée Branly.

Intuitive et organique, l’œuvre de Tommy Watson, naît de couches de points intenses, épaisses, rythmées, méditatives, et souvent accompagnées de chants.

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Né au début des années 30 au plus profond du désert, élevé dans la tradition ancestrale des Pitjantjatjarras, Tommy Watson n’a accepté de peintre à l’acrylique qu’en 2001, passant, sans transition, de la préhistoire au XXIème siècle.

Sa peinture, purement abstraite, ne doit rien à l’Occident, si ce n’est le médium acrylique. Et cependant, sa connexion avec la terre, sa rupture avec les icônes habituelles de l’art du désert, et la puissance de sa couleur, l’ont souvent fait comparer à Kandinsky, ou encore à Rothko pour la manière dont il s’adresse directement à notre énergie native.

Plusieurs œuvres de Tommy Watson feront partie de l’exposition « Vibrations aborigènes »

D’autres artistes de renom l’accompagnent : Abie Loy Kemarre, Judy Watson Napangardi,  George Tjungurrayi, George Ward, Mantua Nangala, Kenny Williams, Gabriella Possum, etc…

Un rendez-vous à noter dans votre agenda.

  • Horaires : du mardi au samedi : 10h-12h / 14h-19h
  • Visites commentées à 18h, les vendredis et samedis, durant l’exposition.
  • Entrée libre.
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